Un revirement est-il possible ?
Hier, je comparais deux attitudes extrêmes. Celle de Jean-Jacques Crèvecœur, qui accuse de façon très agressive le gouvernement québécois de tous les crimes commis depuis deux ans (qui sont bien réels), et incite ceux qui le suivent à la résistance, à la désobéissance et au sabotage. Cela faisait plusieurs mois que je ne l’avais plus écouté, mais ce discours catastrophiste ne me parle plus. L’autre attitude est celle de Katharina, toujours très optimiste dans ses moon readings. Pour elle, la caste a déjà perdu et les choses vont changer rapidement, en tout cas cette année. Depuis des années, elle fait des prédictions très optimistes sur l’avenir du monde. Mais est-ce qu’une seule des choses qu’elle avait prédites a eu lieu ? Je ne crois pas. L’année dernière, elle parlait de trois jours de coupure de l’internet, pendant lesquels tous les membres des forces de l’ombre seraient arrêtés. Elle parlait aussi de la révélation des secrets d’État (disclosure), et de la réélection de Trump. C’est sûr que ces promesses optimistes sont inspirantes et stimulantes : j’aimerais bien les croire. Je passe donc aussi par mes périodes d’optimisme, mais elles sont de nouveau suivies de périodes de doute, qui me créent même parfois des insomnies.
Je préfère l’attitude optimiste, mais plus modérée et plus réaliste, du stratège, Éric Verhaeghe, qui ne voit pas un changement immédiat, même s’il voit une victoire finale de l’opposition, mais il va falloir la gagner par une action qui soit énergique et continue sans être brutale et irréfléchie.
Dans la situation actuelle, peut-on envisager un revirement. Qu’un de ces jours le président ou le premier ministre d’un pays annoncerait qu’il s’est trompé, qu’il a menti, qu’il a imposé des mesures sanitaires inefficaces, même dangereuses, qu’il s’est fié à des conseillers scientifiques corrompus, qu’il a menacé les journalistes et les fonctionnaires qui ne soutiendraient pas sa politique. Et il annoncerait ensuite l’abolition du port du masque, du passe sanitaire, de toutes les mesures liberticides, et l’arrêt immédiat des injections. Que se passerait-il ? Probablement que le lendemain la caste le ferait assassiner, pour décourager les autres chefs d’état qui songeraient à suivre son exemple. Sinon, ayant avoué ses crimes, il devrait être jugé et condamné, mais il serait plus probablement enfermé dans un hôpital psychiatrique. Et que ferait le peuple ? Si ceux qui sont opposés au régime se réjouiront que la vérité l’emporte enfin sur le mensonge, il est probable que les injectés, et tous ceux qui ont accepté et se sont soumis de bon gré à cette politique totalitaire, se révolteront, et descendront même dans la rue pour exiger le rétablissement immédiat des mesures sanitaires qui leur promettaient santé et sécurité.
Pour l’instant, ce scénario, un revirement soudain et immédiat, me semble encore très utopique. Mais est-ce qu’on aurait atteint le creux de la vague ? Est-ce que le rapport de force commencerait à basculer. Est-ce que les forces de la lumière seraient en train de reprendre le pouvoir aux forces de l’ombre ? Est-ce que, dans les plans de la caste mondialiste et transhumaniste, on commencerait à voir des failles, des faiblesses, des hésitations ou même des renoncements mineurs, signes précurseurs d’une défaite, proche ou lointaine ? Et pour cela, il ne faut pas regarder qu’en France, mais dans le monde entier. D’où pourrait venir le changement, une nouvelle énergie salvatrice, un renouveau des idéologies, un éveil des consciences ? Si l’histoire se répète, des États-Unis peut-être, qui, au 20e siècle, ont été les sauveteurs de l’Europe et du monde dans les moments les plus sombres. Et lorsque les Américains adoptent de nouvelles idées, on sait que les Européens, et même les Français, les adoptent toujours avec quelques années de retard… Seront-ils un peu plus rapides à réagir cette fois-ci ?
3 janvier 2022, Chiang Mai