Co-créer le changement
J’ai créé le site Co-créer le changement. Il contient beaucoup d’informations, et est presque terminé. Comme nous sommes dans une période de Mercure rétrograde, j’attends encore quelques jours pour le diffuser. Il faudra aussi le traduire en anglais. Quand je vois les actions variées que font différentes personnes pour essayer de gérer la crise, je me demande si ce site, et ce que je propose, est vraiment approprié. Je crois que oui. Je ne sais pas si j’aurai beaucoup de réponses. Pour l’instant, je n’ai envoyé le lien qu’à quelques personnes, et n’ai pas encore de réponses, à part Évelyne, qui le trouve très bien. J’ai l’habitude que mes créations n’ont pas beaucoup de succès au niveau mondain, mais elles en ont peut-être à d’autres niveaux, et dans d’autres plans de conscience. C’est ce que disait dans une de ses dernières vidéos Aurore Roegiers, une médium que j’aime bien. Elle disait aussi que notre monde avait un grand besoin de beauté, d’énergies positives. Il faut nourrir l’inconscient collectif, car c’est lui qui doit évoluer pour que des changements soient possibles. J’ai essayé, dans mon site, d’être positif, de ne pas critiquer, juger, condamner le système actuel et ceux qui le dirigent, mais de proposer des idées et des moyens pour co-créer, créer ensemble, un nouveau monde, et aussi pour gérer la période de transition qui va le précéder.
Le monde actuel n’est plus soutenable. J’ai regardé l’autre jour le film Planet of the Humans, sur le sujet de l’énergie verte, qui est soi-disant sensée sauver le monde, mais qui me semble plutôt le détruire encore davantage, tout en continuant à enrichir les grosses compagnies qui participent à ces projets. C’est effrayant, et on comprend que les choses doivent vraiment changer de façon profonde et complète. On ne peut pas réparer le système existant, il est irréparable. Pourtant, c’est ce que proposent la plupart de ceux qui s’opposent au système existant. J’explique cela en détail dans les textes que j’ai écrits en novembre 2020, qui pourraient devenir l’introduction d’un nouveau livre. Il y a beaucoup à dire sur ce sujet, j’ai beaucoup d’idées, que je note, et il faudrait que je recommence à écrire mes réflexions. Mais, en attendant, il y a de nombreuses choses à faire et finir.
21 février 2021, Chiang Mai